Certains chirurgiens-dentistes travaillent seulement trois jours par semaine, ou trois et demi.
Pourtant c’est l’une des professions de santé où l’on compte le plus de « burn-out ».
Les praticiens libéraux choisissent leurs horaires et façonnent leur semaine de travail à leur convenance.
Pourtant beaucoup finissent sur les genoux le vendredi soir.
Ou alternent systématiquement un jour de travail et un jour de repos pour se ménager.
Ou alternent systématiquement un jour de travail et un jour de repos pour se ménager.
La plupart des chirurgiens-dentistes libéraux bénéficient d’une rémunération bien au-dessus de la moyenne française.
Pourtant beaucoup ne se disent pas heureux :
Le stress de leur activité et la course perpétuelle de leurs journées pour soigner leurs 15 ou 20 patients quotidiens les empêchent de savourer la vie comme ils le pourraient.
Le stress de leur activité et la course perpétuelle de leurs journées pour soigner leurs 15 ou 20 patients quotidiens les empêchent de savourer la vie comme ils le pourraient.
C’est le grand paradoxe de la profession :
Face à ses avantages indéniables, on trouve des aspects vraiment difficiles à vivre.
Face à ses avantages indéniables, on trouve des aspects vraiment difficiles à vivre.
Et cela donne une profession dévastée par l’épuisement professionnel :
Peut-être avez ressenti à certains moments cette grande lassitude.
Peut-être avez ressenti à certains moments cette grande lassitude.
Cette fatigue qui s’accumule dans votre exercice.
Malgré les satisfactions que votre travail vous apporte régulièrement…
Et finalement, cela n’est pas étonnant.
Parce que trop peu de praticiens ont été formés à gérer un cabinet.
A gérer l’organisation, la planification, l’équilibre entre la nécessité de soigner les autres et votre santé à vous…
Alors que ces sujets sont fondamentaux pour travailler dans de bonnes conditions, et éviter l’épuisement professionnel :
- Comment gérer un afflux massif de patients ?
- Comment répondre à des patients agressifs ?
- Comment s’organiser pour gérer son temps au mieux et éviter de courir du matin au soir ?
- Comment faire adhérer les patients aux traitements dont ils ont besoins sans passer pour un « margoulin » ?
- Comment se comporter avec un patient qui dépasse les limites ?
- …
Donc, comme ces sujets sont absents des parcours universitaires, les jeunes praticiens reproduisent ce qu’ils ont vu pendant leurs stages :
Des façons de faire qui sont en places depuis des lustres.
Des façons de faire qui sont en places depuis des lustres.
Des habitudes de travail loin d’être optimales.
Mais tellement ancrées dans les pratiques qu’il est difficile d’en changer…
Avec le résultat que l’on connait :
Le maintien de ce paradoxe saisissant entre un beau métier de soins qui apporte de nombreuses satisfactions aux praticiens ;
Le maintien de ce paradoxe saisissant entre un beau métier de soins qui apporte de nombreuses satisfactions aux praticiens ;
Et un nombre de burn-out au-dessus de toutes les autres professions médicales.
Comment résoudre ce paradoxe ?
Souvent il suffirait juste d’oser changer quelques-unes de ces façons de faire pour remettre du sens dans votre métier.
Souvent il suffirait juste d’oser changer quelques-unes de ces façons de faire pour remettre du sens dans votre métier.
Pour reprendre le contrôle de vos journées.
C’est ce que je vous propose de faire en lisant 2 fois par semaine ma courte lettre d’information : « Conseils gratuit pour Chirurgien-Dentiste« .
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