Il est 19H15.
Encore un dernier patient.
Le 20ème de la journée.
Votre assistante vous pose une question en préparant le fauteuil…
…Vous n’arrivez même pas à vous concentrer pour l’écouter.
La fatigue est là.
Elle paralyse votre cerveau.
Vous aussi, vous avez peut-être vécu une de ces journées-là ?
Ou peut-être les vivez-vous à répétition ?
Mais comment faire pour éviter ces journées quand on a des délais de rendez-vous en trimestres ?
Comment faire quand on pourrait travailler 20h par jour sans voir le nombre de patients en attente diminuer ?
On risque l’épuisement à ce rythme-là.
Comment soigner plus et mieux tout en se préservant ?
1ère solution :
Tenter d’aller plus vite.
D’accélérer.
Pour faire en moins de temps tout ce qu’on a à faire.
Et en profiter pour souffler un peu plus…
Oui, mais voilà, comment faire ?
Chacun a sa vitesse d’exécution.
Certains sont plus rapides, d’autres plus lents.
Tenter de soigner plus vite, au-delà de sa vitesse d’exécution c’est risqué :
La chirurgie fine en bouche, l’art dentaire, ça demande de l’application.
Donc peut-être qu’avec les années on augmente sa vitesse d’exécution…
En attendant, on fait comment ?
La vraie solution ?
C’est de réduire les pertes de temps.
D’utiliser au mieux les heures de travail de chaque jour.
En étant plus productif.
Par exemple en passant au rendez-vous longs :
Plus d’actes par patients à réaliser,
On regroupe ses actes sur des rendez-vous qui dure plus longtemps,
On en fait plus en 1H qu’en 3 fois 20 minutes,
On réduit les Temps Improductifs Incompressibles (je les appelle les T2I) de chaque rendez-vous.
(Vous savez : 3 rdv de 20 minutes = 3 installations du patients, 3 anesthésies, 3 petites discussions à la fin… avec 1 seul rendez-vous de 1H, on a divisé les T2I par 3 !!!)
Avec les rendez-vous longs, la productivité est dopée !
Seulement voilà : il y a une condition pour que cela fonctionne.
Il faut avoir suffisamment d’actes à réaliser sur chaque patient pour que les rendez-vous soient bien remplis !
Prenons M. Dupont, un nouveau patient.
Il a mal du côté de la 37.
Et vous, vous avez vu qu’il y a largement de quoi faire avec lui.
Le cas parfait pour une réhabilitation plus globale.
Donc des actes suffisants pour 2 ou 3 rendez-vous longs (3 x 1H ou 2 x 1h30).
Avec cette façon de faire globalement, M. Dupont repartira de chez vous non seulement avec sa 37 soignée, mais tout le reste aussi.
Et il ne risque pas de revenir dans quelques mois ou quelques années pour une urgence parce que tout le reste s’est dégradé !
Seulement voilà, M. Dupont va-t-il accepter cette solution ?
Il ne vous connait pas.
Ou si peu.
Va-t-il avoir confiance dans votre diagnostic ?
Et dans votre proposition de plan de traitement ?
Après tout, lui, il venait pour sa 37 !
Et vous voulez lui parler de tout le reste !
Comment va-t-il réagir ?
Cela ne fonctionne que si M Dupont vous accorde suffisamment de confiance pour accepter vos propositions.
Sinon, s’il se méfie, il acceptera à la limite que vous lui soigniez sa 37…
(Avec le petit détartrage qui va bien, tout de même !)
Donc tout repose sur votre capacité à faire naitre ce sentiment de confiance chez vos patients.
Pour qu’ils se sentent à l’aise dans votre cabinet dentaire.
Qu’ils comprennent tout l’intérêt qu’ils ont à accepter ce que vous leur proposer.
C’est pour vous aider à créer et à maintenir en permanence ce sentiment de confiance que j’ai créé ma lettre d’information « Conseils gratuits pour chirurgiens-dentistes« .
Vous allez y voir les mécanismes simples de la confiance :
- Les ressorts psychologiques de la confiance;
- La règle de la cohérence;
- Les questions indispensables à poser à vos patients pour les mettre en confiance;
- Comment réduire l’impact du stress sur vos patient (cette émotion négative qui nuit gravement à la confiance !)
- …
Et bien sûr, vous y verrez aussi tous les outils pratiques et simples à mettre en place au cabinet dentaire pour favoriser une relation détendue, de confiance, avec la très grande majorité de vos patients.
Le résultat ?
Avec des patients rassurés et confiants, vos acceptations de plans de traitement vont grimper en flèche !
Ensuite, vous aurez tout le loisir de travailler en rendez-vous longs, de grouper vos actes pour réaliser les traitements plus globaux acceptés.
Et donc de réduire le rythme au cabinet dentaire, tout en augmentant votre efficacité, et en vous préservant !
Dans ma lettre d’information « Conseil gratuits pour chirurgiens-dentistes« , vous allez trouver tout ça, alors,
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